Conte initiatique chamanique pour réfléchir…
L’oiseau libre et l’oiseau esclave
Vous est-il déjà arrivé de rêver en étant persuadé que cela était bien réel ? Ou à l’inverse, de vivre une situation “réelle” et de vous demander s’il ne s’agissait pas d’un rêve ? D’ailleurs, lequel de ces deux états est le plus réel, celui de veille ou celui de sommeil ?
À travers ce conte initiatique chamanique, Ahimsa Hridayananda (Loup Blanc) nous montre aussi que nous sommes prisonniers de nos illusions ! Nous nous croyons libre alors que nous sommes esclave ; nous vivons en esclave alors que nous sommes libre.
Ainsi va la vie, tout n’est que croyance ! La croyance libère ou entrave. Si elle a son origine dans l’ego matériel, alors à coup sûr, elle est fausse. L’ego spirituel en nous se nomme Soi, et c’est là que la véritable croyance se réalise, mais à ce niveau, il n’y a plus de croyance, seulement l’être qui sait qu’il est.
Les rêves sont source de purifications et de libérations ! Grâce à cette musique chamanique de Loup Blanc, vous pourrez rentrer encore plus consciemment dans vos rêves.
Le sommeil vous introduit dans l’Univers des symboles du subconscient. Dans vos rêves réside la connaissance de votre êtreté et de l’Univers.
Ainsi, dans un rêve, vous pouvez tout faire, des choses les plus banales aux plus extraordinaires, il n’y a aucune limite : apprendre ; visiter des lieux inconnus, mystérieux, sacrés ; vous entretenir avec le Bouddha, le Christ et d’autres grandes Âmes ; rencontrer votre guide intérieur ; retrouver les traces de civilisations disparues ; évoluer sur d’autres planètes et même revivre vos vies antérieures !
Extraits
Copyright © – Cet article est protégé. Il est extrait d’un livre de Ahimsa Hridayananda (Loup Blanc) Le Voyageur incorporel, Tome I : La Rencontre, éd. Nouvelles Réalités, 2002. La reproduction partielle de celui-ci et (ou) de ses images est interdite. Par contre l’auteur vous autorise et vous invite vivement à partager cet article mais uniquement dans son intégralité et en mentionnant clairement la source : Texte de Ahimsa Hridayananda (Loup Blanc) – www.chamanisme-origine.fr
Les lectures de l’entretien “s’établir durablement dans la Paix intérieure” et du conte “L’oiseau libre et l’oiseau esclave” m’ont montré à quel point la déstabilisation reprend vite possession de moi par manque de vigilance. Ces lectures/méditations ont mis point, par point, les i sur toutes mes interrogations, mes doutes et mon manque d’assiduité dans les pratiques. Tu me l’avais déjà rappelé …
Pendant une courte promenade, sans masque, au soleil, les mots lus, le mantra, vibraient en moi et me parlaient comme jamais ! Un voile s’est déchiré.
Comment sombrer, ne pas renouer avec la force et la joie avec tout ce que Tu nous enseignes…
Comment ne pas suivre les règles édictées suivant les raisons qui Te sont propres…
Comment ne pas joindre la Présence et se fondre en Elle dans un cœur de joie.
Merci Loup Blanc pour tout ce que Tu donnes, crées avec patience, amour, compassion.
Merci pour cette leçon faite à “l’intrus” qui confère à l’humilité.
merci pour ces ressources de paix et d’évasions !!
Merci Loup Blanc de ce conte initiatique qui est tellement d’actualité !
Merci Loup Blanc parfois on oublie nos condionnements et la faculté qui nous est donné de casser nos chaînes
Merci Loup Blanc pour cet enseignement ! Il est vrai que tout peut être trompeur pour qui ne voit pas avec les yeux de l’âme et on oublie qui nous sommes vraiment. Quand on a été si longtemps dans un état d’inconscience, ou pas bien loin, ce n’est pas facile d’amener et d’ancrer la conscience à tout instant. Cela demande un travail qu’il est important de fournir régulièrement, ce qui n’est malheureusement pas mon cas ^^’ Encore un vilain défaut à dégager d’un coup de pied aux fesses !
Pour un exemple amusant de rêve conscient qui m’avait plongé dans une grande confusion… Je devais avoir cinq ans je pense, quand en pleine nuit je me suis levée de mon lit pour aller m’envoler dans la maison. Tout était sensationnel et bien réel ! Je me rappelle encore faire des tours du luminaire dans le couloir, heureuse et libre. Sauf que le matin en me réveillant, quelle ne fut pas ma surprise de ne pas pouvoir décoller du sol ! La nuit je volais enfin, et le matin je ne volais plus. C’était très décevant et je ne comprenais pas, mais longtemps après je sais maintenant que mon corps physique n’a jamais volé et c’est dans un corps plus subtil que j’ai goûté à la joie du vol :) Bien que ce ne fut que dans ma maison…
tel le mythe de la caverne, plutôt rester enchaîné à ce qu’on croit connaître que d’être libre vers l’inconnu,… il est temps de changer tout ça !
Ah oui c’est tellement vrai….